IL EST TEMPS
Bocrew
I used a short sample fron Idzerono
“Come to me”
A poem by me Thedeepr bocrew
Ça fait longtemps que je n’ai pas pris un crayon
J’étais concentré à inventer du son
J’ai creusé sur mon séquencer le tempo
Pour imaginer comment faire vibrer la sono.
Il est temps pour moi de me reconstruire
Après des années à cafouiller et à me détruire
Le son pour moi a été un échappatoire
À l’idée que la vie n’est pas un dépotoir
Je ne maitrise pas le verbe aussi bien,
Mais nul doute, j’y arriverai bien sans vin
Je me crée un espace de réflexion,
Pour éviter toute forme de désillusion
Je constate que ça a du bon
De ne pas manger que du thon
Il faut varier les plaisirs,
Du bon son, je ne peux m’abstenir
Éviter les soupires, j’évite les repentirs
À la croisée des chemins,
la lumière m’envahit, finalement je ne suis pas crétin
La douce vie est une étreinte,
Des caresses sans cesse sans une plainte.
Me voilà enfin libéré de mes chaines,
Pour ainsi dire, je n’avais pas la haine
Le ciel se dégage, laissant place au soleil,
Libre je sursaute et m’éveille,
Je chante la chanson du bonheur
Sortie de ma profonde torpeur,
Les oiseaux ont été se couché
La nuit les souries danse sur les tamtams Jumbés
“Come to me”
A poem by me Thedeepr bocrew
Ça fait longtemps que je n’ai pas pris un crayon
J’étais concentré à inventer du son
J’ai creusé sur mon séquencer le tempo
Pour imaginer comment faire vibrer la sono.
Il est temps pour moi de me reconstruire
Après des années à cafouiller et à me détruire
Le son pour moi a été un échappatoire
À l’idée que la vie n’est pas un dépotoir
Je ne maitrise pas le verbe aussi bien,
Mais nul doute, j’y arriverai bien sans vin
Je me crée un espace de réflexion,
Pour éviter toute forme de désillusion
Je constate que ça a du bon
De ne pas manger que du thon
Il faut varier les plaisirs,
Du bon son, je ne peux m’abstenir
Éviter les soupires, j’évite les repentirs
À la croisée des chemins,
la lumière m’envahit, finalement je ne suis pas crétin
La douce vie est une étreinte,
Des caresses sans cesse sans une plainte.
Me voilà enfin libéré de mes chaines,
Pour ainsi dire, je n’avais pas la haine
Le ciel se dégage, laissant place au soleil,
Libre je sursaute et m’éveille,
Je chante la chanson du bonheur
Sortie de ma profonde torpeur,
Les oiseaux ont été se couché
La nuit les souries danse sur les tamtams Jumbés